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Petite épistémologie de la créativité - première partie

(Sous-titre provisoire: De la contrainte nécessaire.) Une des choses qui font de l’Homme un être vraiment étonnant est sa capacité à in...

jeudi 31 juillet 2014

Cent !


Mon blog me dit depuis quelques temps que la totalité des articles qui s'y trouvent est très exactement égale au nombre de 100. Il ne le dit qu'à moi et à personne d'autres. Eh oui, j'ai un petit tableau de bord qui tient les comptes. Je ne lui demande rien, mais il les tient. Alors je vois les comptes. Je vois par exemple le nombre d'articles publiés, mais aussi le nombre de ceux qui ne le sont pas. Ils ne sont pas publiés mais ils sont là, abandonnés, attendant ma bonne volonté de les reprendre. Et vous, vous ne voyez rien du tout car vous êtes de l'autre côté du blog. Donc pour le simple lecteur qui se sera étourdi à compter le nombre d'articles, il n'y en a que 85 de disponibles. Tout ébobi qu'il soit, je l'entends cependant bougonner de son côté, derrière l'écran, un impitoyable "c'est tout ?"...

Et cela m'attriste profondément d'être la seule à savoir qu'il y a en fait 100 articles qui gîsent içi. Pour certains ce sont encore des articles en puissance, mais il y en a bien 100. Et un centenaire, cela se partage! Vous ne croyez pas?

Donc, pour l'occasion, après que mon blog m'ait une fois de trop répété qu'il y a 85 articles publiés et 15 brouillons (avec un beau 100 entre parenthèses, le total, vous aurez compris), j'ai décidé de publier les brouillons! Non mais.

Vous chipotez, là, je vous entends... "Pourquoi la liste ci-dessous ne contient-elle que 9 articles et non 15, par tous les mots! Nous croît-elle si naîfs que nous buvons ses paroles et ses calculs en totale cécité? Non mais."

Il y a 9 brouillons dont vous trouverez en effet la liste ci-dessous, et 6 articles qui sont en fait, je vous l'accorde, des doublons. Certains articles ont été mis en ligne 2 fois, tout simplement. Pas bêtement, non, mais tout simplement. Et donc, sur deux articles identiques, j'en ai rebasculé un en mode brouillon et je ne vois pas l'intérêt de le débrouilloner! Voilà, vous savez tout. Ou presque.

L'importance de se salir
Brida
Le Conatus ou le "vivant gagnant"
Asimov et Fondation
La plus belle des solitudes
Histoire de Dissonnance
Le concert des efforts
TrueBlood
Monnaie!

Il est probable que je rédige un jour ces articles, mais pour être tout à fait honnête, j'en doute. Ils sont là, en brouillon, latents, depuis plus d'un an. Les idées que je voulais y développer l'ont été différemment, dans d'autres articles. Ou bien je n'ai pas encore trouvé les mots, ou bien l'idée n'est pas assez claire, que sais-je...
Il y a maintenant d'autres sujets qui me trottent dans la tête auxquels je souhaite prêter attention. Sur Asimov, par contre, je dirai très sûrement quelque chose. Pas tout de suite, mais quand j'aurais fini quelques bouquins de plus (je suis dans Les Robots tout à fait actuellement et je m'y plaît plus que de raison).

Je vous invite à jeter un oeil sur ces articles, ces bribes d'articles non rédigés. Y jeter un oeil juste comme cela, parce qu'ils sont 100 en tout, que c'est un tout.

Après, dans l'hypothèse farfelue où quelqu'un me demanderait d'en rédiger un, pour voir un peu ce que j'ai à dire, je le ferais bien volontiers!

Brida

Bouquin de Paolo Coelho.

J'aime beaucoup la "théorie" du physicien sur la "réincarnation": à la mort d'une personne, les atomes de son corps se dispersent dans l'environnement, et puis au bout d'un temps certain, certains atomes se retrouvent à nouveau dans la composition d'un corps humain. Et puis, parfois, de manière exceptionnelle, une personne en rencontre une autre qui dans son corps contient des atomes qui ont par le passé, composé le même corps que certains atomes de la première personne, voyez-vous.  Et c'est ainsi que quelque chose d'imperceptible attire ces personnes l'une vers l'autre, qu'elles se reconnaissent, en un sens. Le sorcier du bouquin, parce qu'il y a un physicien mais aussi un sorcier dans cette histoire, raconte que lorsque l'on rencontre la personne faite pour soi, son grand amour, on voit quelque chose autour d'elle, plus prosaïquement, on doit voir un point à droite ou à gauche de son visage. Ce grand amour, cette "bonne" personne, nous correspond parce que, comme je viens de l'expliquer en reprenant maladroitement l'idée du physicien, une partie de la matière qui le constitue a constitué par le passé, avec les atomes qui nous constituent, le même corps.
Je trouve cette théorie d'abord, assez plausible, ensuite très jolie.

Le Conatus ou le Vivant Gagnant (ébauche)


Le conatus : c’est une notion qui m’a interpelée récemment et qui est en fait très heuristique.
Le conatus est tout simplement une force, un effort, un élan naturel contenu dans toute chose « étant » et qui amène toute chose « étant », existante, à persévérer dans son être.
Cela s’apparente à la notion d’instinct de survie et en ce qui me concerne, le conatus s’apparente à la notion même de vie, d’étant. En effet, je considère que la vie est un mouvement qui, inscrit dans le temps, cherche avec ce dernier à persévérer dans son être, donc  à survivre. Le but premier, l’essence même de la vie, est de continuer, rester, donc vivre.
La définition de conatus a été ensuite interprétée comme une force ou un effort qui justifie chez l’homme la recherche de ce qui augmente son confort et sa joie.  Je m’éloigne de cette interprétation en posant que le confort et la joie sont des notions culturellement relatives et pleinement anthropocentriques. Ce sont des notions qui, posées comme but de l’effort de vie, justifient certains comportements individualistes que je pense en contradiction avec l’intérêt « supra-général ».
L’intérêt supra-général ? Eh bien oui, l’intérêt non pas des hommes dans leur collectivité, mais l’intérêt de l’ordre des choses qui nous entourent et nous incluent, l’harmonie et la symbiose dans la coexistence des espèces.
IL semble évident que si la recherche de la joie et du confort pour un individu ou une espèce se fait au détriment de son environnement, cette recherche devient vaine à plus ou moins long terme.
Cependant, je garde la notion de conatus car je la considère fondamentale dans la définition de ce qu’est la vie.
La vie n’est autre que le mouvement qui persévère l’étant, la vie n’est autre chose que l’action de vivre.
La vie est survie et va bien au-delà de notre survie à nous, humains. C'est pourquoi, si nous voulons rester dans la danse, il nous faire attention à ce qui nous entoure.

Azimov et Fondation

Asimov est sûrement le plus grand auteur de science fiction de tous les temps ( c'est le jury du prix Hugo 66 qui le dit ). Fondation, tome 1, est à ce jour le bouquin le puis puissant que j'ai lu. Après avoir enchainé avec les autres tomes, j'ai commencé la cycle des robots. Non sans appréhension car je sais que l'auteur des davantage connu pour ce cycle-là que celui de Fondation. Il a également, après deux décennies, joint les deux cycles en quelques romans supplémentaires. Après deux tomes des Robots, je dois dire que son génie est indéniable. Un fou. Affaire à suivre et à développer.!!

La plus belle des solitudes

... est aussi celle qui nous terrifie le plus!

inviolabilité de son cerveau,
au plus intime de ses pensées,
cette sensation vertigineuse que l'on peut avoir, par instant, de se savoir seule, toujours, irrémédiablement seule, avec soi-même! Solitude qui fait que l'on se doit de se prendre soi-même par la main
Et de se demander quelques fois si le monde qui nous entoure, entoure aussi les autres de la même manière....

Le concert des efforts

necessité de travailler pour obtenir qq chose
lutter contre la facilité d'obtenir sans efforts

l'effort que l'on se propose de faire pour une chose, quelle qu'elle soit, confère à cette chose sa VALEUR.

Un effort qui n'est pas celui de tirer difficilement un billet de son porte feuille, aussi durement gagné fût ce billet.

Histoire de dissonance

Dissonnance cognitive
Processus de réduction! de "comprehension" = prendre avec soi = intégrer dans son prisme de lecture du monde...
et qui dit réduction de dissonnance
peut aussi dire réduction du paquet d'ondes...

True Blood - série télé

C'est de cette série que je tiens le pseudo Bellefleur
Décomplexion des moeurs
Série qui ouvre la réflexion
sur des questions de sexualité^^......

L'importance de se salir

Notes du 17 janvier 2013

se faire violence
etre ridicule
se laisser dépasser
se mettre en danger
Lâcher prise
parce que trop d’ascétisme, de propreté, de bienséance, en un mot de contrôle, ... et là tu développes ton article ...