Instinct
– 1999- de Jon Turtletaub avec Anthony Hopkins et Cuba Gooding Jr. Un
primatologue vit avec les singes jusqu’au moment ou un drame se produit. Le
vieil homme voue une haine aux hommes et un jeune psychologue va chercher à
comprendre les raisons de cette attitude. Excellent film sur le rapport
empathique entre les êtres vivants.
Basic
Instinct
– 1992 - de Paul Verhoeven avec Sharon Stone et Michael Douglas.
Prestation de Sharon, magnifique.
Big Fish – 2003 - de Tim
Burton avec Ewan McGregor et Albert Finney. Histoire d’amour entre un père et
son fils, au-delà des incompréhensions. Histoire d’un homme qui suit ses rêves
au fil de son existence, quoi qu’il lui en coûte en termes de vie de famille.
Dracula
– 1992 – de Francis Ford Coppola avec Gary Oldman. Adaptation de l’œuvre de
Bram Stocker. Superbe Gary Oldman.
Avatar –
2009 – de James Cameron avec Sam Worthington et Sigourney Weaver. Une fable
écologique très agréable à regarder. « I see you » et la connexion
capillaire entre les êtres vivants sont à retenir.
Harvey Milk – 2008 - de Gus Van Sant avec Sean Penn. Sur la vie
d’un activiste gay, pionner dans la reconnaissance de droits aux homosexuels.
Superbe performance de Sean Penn.
Le voyage
de Chihiro
– 2001 – de Hayao Miyazaki. Film d’animation japonais. Histoire
fantastique, onirique et merveilleuse. Trame picaresque : une petite fille
part à la recherche de quelque chose…
Mon voisin Totoro – 1988 - de Hayao
Miyazaki. Film d’animation. Merveilleuse histoire là aussi, écologique et fantastique.
Princesse
Mononoke
– 1997- de Hayao Miyazaki. Moyen-âge, Japon. Un jeune prince est maudit
pour avoir tué un sanglier. Condamné à quitter son village, le jeune prince
part dans la forêt et se retrouve mêlé à une guerre entre les esprits de la nature
et les hommes. Princesse Mononoké défend l’esprit de la forêt contre les hommes
et le jeune prince va tenter de réconcilier la princesse avec ses semblables.
Excellent film.
Nausicaa –
1984 - de Hayao Miyazaki. Les hommes ont épuisés la terre. Revenue à un âge pré-industriel,
l’humanité évolue dans un nouvel écosystème dont les insectes géants sont les
garants. Une guerre déchire les hommes répartis en différents clans. Une
princesse mène alors un incroyable combat pour réconcilier les hommes entre eux
et les réconcilier avec la nature et les animaux. Film génial.
Le château ambulant – 2004- de Hayao
Miyazaki. Fabuleux. De la magie, des sortilèges, des chateaux qui volent, des
portes qui ouvrent sur des mondes différents, des sorcières amoureuses, des
princes maudits, des esprits démoniaques. Un voyage captivant, passionnant et
rafraichissant.
Minority
report –
2002 - de Steven Spielberg avec Tom
Cruise. Adaptation d’une nouvelle de Philip K. Dick (de même que pour Total
Recall et Blade Runner). Les thèmes de prédilection de cet auteur de nouvelles
d’anticipation sont les pouvoirs parapsychologiques, les troubles de la
perception identitaire à travers un brouillage des repères temporels. Dans un
futur proche, les pré-cogs ont la faculté de prévoir les crimes avant qu’ils
n’aient été commis. Une force d’intervention prend connaissance de ces infos et
empêche le futur criminel d’agir…
Carlito’s
way –
1993 - de Brian de Palma avec Al Pacino
et Sean Penn. Dans la lignée d’un Scarface (1983, De Palma), d’un King of New
York (1990, Ferrara) ou des Affranchis (1990, Scorcese). Un ex traffiquant
essaie de ne pas retomber dans le traffic de drogue à sa sortie de prison,
quand tout l’y pousse. Superbes performances de Sean Penn et d’Al Pacino.
Grindhouse
– 2007 - de Robert Rodriguez et Quentin
Tarentino avec Kurt Russel, Bruce Willis, Rose McGowan et Freddy Rodriguez.
Diptyque avec Boulevard de la mort (Tarentino) et Planet Terror (Rodriguez). Les
deux films sont excellents dans le genre parodique (le style des road movies
des 70’s et les films d’horreur).
2001
Odyssée de l’espace – 1968 - de Stanley
Kubrick. Film de science-fiction avant-gardiste. Scénario de l’écrivain Arthur
C. Clarke. Un monolithe noir, un fœtus dans l’univers, HAL et puis des hommes
qui vont sur la lune et puis sur Jupiter… Des extra-terrestres seraient-ils à
l’origine de l’évolution du singe vers l’Homme ? Proche du film expérimental,
incontournable.
Rencontre
du 3ème type – 1977 - de Steven
Spielberg avec Richard Dreyfuss et François Truffaut. Science-fiction. Un de
mes films préférés, mais plus préféré que les autres encore. Des phénomènes
étranges se produisent en divers endroits du globe. Une rencontre va avoir
lieu. Les extra-terrestres veulent entrer en contact avec les hommes. Rencontre
pacifique, mélodique, fantastique.
Le seigneur des anneaux - 2001 - 2003 - de Peter Jackson avec Hugo Weaving, Elijah Wood. Trilogie adaptée des romans de J. R. R. Tolkien.
Le seigneur des anneaux - 2001 - 2003 - de Peter Jackson avec Hugo Weaving, Elijah Wood. Trilogie adaptée des romans de J. R. R. Tolkien.
Reservoir
dog –
1992 - de Quentin Tarentino avec Michael
Madsen, Steve Buscemi et Harvey Keitel. Du pur Tarentino : dialogues fous,
efficaces et inspirés, personnages inimitables. Pour résumer, disons que des
gangsters règlent leur compte dans un bain de sang. Ce film est un bijou pour
les dialogues et pour la narration non suivie entremêlant des flashbacks.
Foor rooms – 1995 – de Allison
Anders, Alexandre Rockwell, Robert Rodriguez et Quentin Tarentino avec Tim Roth
et Madonna. Quatre parties réalisées par quatre personnes différentes. Tim Roth
est spectaculaire en groom. Dans un hôtel pendant la nuit du nouvel an, un
groom va vivre 4 situations très étranges.
Stargate
– 1994 – de Roland Emmerich avec Kurt Russell et James Spader. Science-fiction.
Un artéfact est retrouvé en Egypte. Il porte des inscriptions étranges. Leur
déchiffrage va ouvrir la porte vers de nouveaux horizons, aux confins de
l’univers. La série Stargate SG1 reprend l’idée de départ et la développe avec
brio (tant dans le domaine des relations diplomatiques que dans celui des défis
scientifiques). Culte.
Le Patient
Anglais
– 1996 - de Anthony Minghella avec Ralph Fiennes, Juliette Binoche et
Kristin Scott Thomas. Histoire d’amour dramatique. Vraiment dramatique. Un amour
compliqué entre deux personnes non « disponibles » dans un contexte
de guerre, de trahison, de vengeance, de hasards malheureux. 9 oscars tout de
même…
The Constant
Gardener
– 2005 – de Fernando Meirelles avec Ralph Fiennes et Rachel Weisz. Un
homme essaie de comprendre pourquoi et comment sa femme- militante
altermondialiste- a été assassinée. Elle cherchait à dénoncer des activités
illégales d’entreprises pharmaceutiques au Kenya. Manipulations, jeux de
pouvoirs, confiance, abus de confiance. Superbe.
Mensonges
d’état –
2008 – de Ridley Scott avec Leonardo Di Caprio et Russel Crowe. Film très
intelligent sur les manipulations politiques qui se trament en temps de guerre,
celle d’Irak en l’occurrence. C’est un film américain donc biensûr certains
rebondissements sont trop prévisibles et fort peu crédibles, mais c’est comme
ça.
Vicky
Cristina Barcelona – 2008- de Woody Allen avec Javier Bardem, Penelope Cruz,
Scarlett Johansson. La quête intrépide d’une jeune américaine en Espagne. A la
recherche d’aventures amoureuses. Film sympathique où s’opposent deux
tempéraments : l’un bien rangé ; l’autre libre et aventureux. L’un
s’en sort-il mieux que l’autre ?
James Bond – tous de manière
générale, sont une garantie de passer un bon moment de détente.
Amores
perros - 2000 – de Alejandro Gonzales Inarritu avec
Gael Garcia Bernal. Des vies vont se croiser au détour d’un tragique accident
de la route. Belle histoire dramatique. Un peu dans le style de « Collision »
(2004, Paul Haggis) ou des « circonstances » amènent des gens à se
croiser après qu’on ait suivi leur histoire séparément.
Le jour ou
la terre s’arrêta – 2008 - de Scott
Derickson avec Keanu Reeves et Jennifer Connelly. Un extra-terrestre
représentant des groupes de civilisations extra-terrestres débarque sur terre pour
mettre en marche un processus de « sauvetage de la terre »,
impliquant l’éradication des êtres humains. Quand les hommes comprendront-ils
que la terre ne leur appartient pas et qu’il faut en prendre soin ?
Orange
mécanique
– 1971 – de Stanley Kubrick avec Malcolm McDowell. Excellent film tant
pour la performance de Malcolm McDowell que pour les thèmes traités : la
brutalité gratuite, le traitement psychologique tout aussi violent qui s’en
suit. Ce film me fait penser à "Vol au-dessus d'un nid de coucou", excellent lui aussi.
Catch me if
you can
– 2002 - de Steven Spielberg avec
Leonardo Di Caprio, Tom Hanks et Christopher Walken. Pour l’intelligence du
jeune Abagnale. Bel exemple de résilience. Histoire vraie (romancée biensûr).
Blade
runner -1982
– de Ridley Scott avec Rutger Hauer et Harrison Ford. D’après le roman de
Philip K. Dick au titre improbable : « Les androïdes rêvent-ils de
moutons électriques ? » Dans un futur proche, les animaux ont
disparus et la planète est devenue un monde apocalyptique. Les réplicants sont
des androïdes fabriqués à partir d’ADN humain et servent
d’ « esclaves » jusqu’au jour où ils sont pourchassés pour être
« retirés » après qu’ils se soient rebellés. 4 androïdes très
dangeureux et d’apparence humaine arrivent sur terre. La police spéciale, les
Blade Runners, doit les arrêter. L’esthétique cyberpunk du film est très 80’s,
c’est-à-dire géniale.
Le
labyrinthe de pan – 2006 – de Guillermo del Toro avec Sergi Lopez. Fable merveilleuse
et tragique. Une petite fille suit sa mère chez son nouvel époux, un capitaine
de l’armée franquiste. Elle découvre un labyrinthe dont le gardien, une
créature surnaturelle, lui demande d’accomplir des épreuves difficiles pour
devenir la princesse d’un monde enchanté. Sergi Lopez est magistral en
capitaine démoniaque.
Intelligence
artificielle – 2001 - de Steven Spielberg
avec Haley Joel Osment et Jude Law. Dans un futur éloigné, les robots sont
monnaie courante. Certains ont l’apparence et la fonction d’enfants. David, un
robot de ce type, est intégré dans une famille humaine et s’éprend de sa maman
comme un enfant humain. Il va mener une quête fantastique pour devenir humain
et gagner l’amour inconditionnel de sa maman. Ce film pose notamment la
question de savoir où s’arrête l’artifice et où commence l’intelligence du
cœur…
Le silence
des agneaux – 1991 – de Johnathan Demme avec Jodie Foster et Anthony Hopkins. Film
policier. Hannibal Lecter, tueur cannibale emprisonné, est sollicité par le FBI
pour élucider une série de crimes. Tension psychologique très forte et
ambigüité de la relation entre la jeune recrue et le psychiatre psychopathe.
Quand la folie est intelligence, et inversement.
American history x – 1998 - de Tony Kaye avec Edward Norton et
Edward Furlong. Deux frères cotoient le milieu néonazi: le grand frère
est un meneur du mouvement, proche du leader ; le petit frère suit le
modèle de son grand frère jusqu’à ce que ce dernier fasse un séjour en prison
qui lui ouvre les idées. Il va alors tenter de racheter ses erreurs, d’éloigner son frère du mouvement haineux…
Edward Norton en meneur néonazi : super performance.
Contact –
1997 - de Robert Zemeckis avec Jodie
Foster et David Morse. Une scientifique spécialisée dans l’analyse des ondes
radio venues de l’espace capte un
message d’origine extra-terrestre. Sous
forme mathématique, le message est un mode d’emploi menant à la construction
d’une machine permettant de voyager dans l’espace et aller à la rencontre
d’autres formes de vie. Excellent film qui met en évidence la relativité de nos
peurs, de nos croyances, face à l’immensité de l’inconnu. Film culte.
Matrix –
1999- de Larry et Andy Wachowski avec Keanu Reeves, Laurence Fishburne et Hugo
Weaving. Science-fiction qui ouvre sur des interprétations philosophiques très
nombreuses. Excellente trilogie. Malgré le thème qu’on peut trouver fréquent en
SF, le conflit hommes-machines, il est içi magnifiquement dépassé par… la
matrice. Superbe allégorie de la question de la réalité relative, subjective.
Phénoménal.
Cashback – 2007- de Sean Ellis. Une magnifique
histoire d’un jeune homme qui suspend le temps pour apprécier les belles
choses. Après une rupture sentimentale, un jeune homme prend un petit boulot de
nuit dans un supermarché. Entre réalité et imagination, ce film emmène très
loin. Chaleureux, tendre, drôle et
réconfortant, un film surprenant et mémorable.
The rocky horror picture show – 1975 – de Jim Sharman avec Susan
Sarandon, Tim Curry. Une perle du cinéma. Entre parodie de série B, parodie
de science-fiction : film décalé, un brin provoquant. Tim Curry est
phénoménal en professeur FrankNFurter (frankenstein) transsexuel fou, aux
lèvres rouges, cheveux brushés et porte-jarretelles ajusté. Super musique (Time warp, Sweet transvestite,
Don’t dream it, be it).
L’imaginarium
du docteur Parnassus – 2009- de Terry Gilliam avec Heath Ledger,
Jude Law, Johnny Depp. Entre alice aux pays des merveilles et Charlie et la
chocolaterie, pour l’esthétique. Un miroir magique une fois franchi amène les
gens dans leur propre monde imaginaire. Le docteur Parnassus doit trouver le moyen de rompre le pacte
qu’il a fait avec le Malin qui veut lui prendre sa fille. Son imaginarium
l’aidera-t-il… concept intéressant de matérialiser les univers secrets des
gens, combat entre le bien et le mal assez basique compensé par l’esthétique.
Dernier film de Heath Ledger.
Carne
tremula – 1997 - de Pedro
Almodovar avec Javier Bardem. (En chair et en os). Un jeune homme décide de se
venger d’une femme dont il est amoureux et qui l’a rejeté. Son plan : lui
faire l’amour de la meilleure manière possible pour lui faire tourner la tête. Du
très grand Almodovar (avec Talons aiguilles, Y tu Mama tambièn).
Blood
diamonds – 2006 – d’Edward Zwick avec Leonardo Di Caprio et
Djimon Hounsou. Chronique efficace sur le traffic de diamants et les enfants
soldats en Sierra Leone. Film engagé. Djimon Hounsou est magnifique.
Little miss
sunshine – 2006 - de
Valerie Faris et Johnathan Dayton avec Steve Carell et Toni Collette. Une famille
américaine en mode anti-héro, c’est-à-dire loin, très loin d’être une famille
modèle, mais surement plus fréquente qu’on ne le croit. Touchant, humain,
chacun des personnages de cette famille est riche en nuances. D’abord ils nous
effraient puis on apprend à les adorer. Une super aventure.
E.T –
1982 – de Steven Spielberg avec Henry Thomas et Peter Coyote. Science-fiction. Une
histoire d’amitié extraordianaire. Film culte. Sublime et incontournable.
Apocalypse
now -1979 – de Francis Ford Coppola avec Martin Sheen et Marlon
Brando. Film de guerre. Viet Nam. Descente aux enfers, dans les profondeurs de
la noirceur humaine, causée par les horreurs que réclame toute guerre.
La ligne
rouge – 1998 – de Terence Malik avec Sean Penn, Jim Caviezel et
Adrien Brody. Film de guerre. Bataille de Guadalcanal, Pacifique, 1942. Film
contre la guerre. Confrontation d’hommes ordinaires, jeunes et naïfs, à des
questions de mort. Film incontournable.
Voyage au
bout de l’enfer – 1978 – de Michael Cimino avec Robert de Niro,
John Savage et Christopher Walken. Film de guerre. Viet Nam. Dénonce les
séquelles physiques et psychologiques laissées par les atrocités de la guerre.
Christopher Walken magnifique tout comme John Savage.
Les trois
royaumes – 2008 – de John Woo avec Takeshi Kaneshiro (Le secret
des poignards volants) et Tony Leung Chiu Wai (In the Mood for Love ; 2046 ;
Hero ; Internal Affairs). Film de stratégie militaire asiatique, emprunt
de sagesse, d’intelligence, de subtilité. Passionnant, captivant, très long et
pourtant trop court. Takeshi
Kaneshiro incarne un sublime personnage.
Batman: The Dark knight – 2008 – de Christopher Nolan avec
Heath Ledger, Gary Oldman et Christian Bale. Pour la performance du
Joker, jouissif de perversité. Un très bon film avec Batman Begins ( avec Liam
Neeson et Cilian Murphy).
Basquiat – 1996 -
de Julian Schnabel avec Jeffrey Wright, David Bowie, Christopher Walken,
Gary Oldman, Sam Rockwell, Benicio Del Toro, Dennis Hopper et Vincent Gallo. Un
film exceptionnel sur la vie d’un jeune artiste noir de Brooklyn ayant côtoyé
les plus grands (Andy Warhol) et disparu en 1988 à l’âge de 27 ans. Film hommage.Excellent.
Abyss – 1989
– de James Cameron avec Ed Harris. Science-fiction. Un équipage se retrouve
coincé au fond de l’océan. Des phénomènes étranges se produisent, notamment
avec l’eau à bord de la plate-forme sous-marine. Un monde nouveau s’ouvre,
fabuleux. Encore une fois, un film sur l’ouverture d’esprit, sur la confiance
en l’inconnu, sur le combat contre la peur.
Dune –
1984 – de David Lynch avec Sting, Kyle McLachlan et Max Von Sydow. Adapté des
romans de Frank Herbert. Science-fiction. Dans un univers complètement
réinventé, des jeux de pouvoirs, des peuples dominés, des croyances mystiques
se confrontent en une fabuleuse aventure.Culte.
Bons
baisers de Bruges -2008 -
de Martin McDonagh avec Brendan Gleeson, Ralph Fiennes et Colin Farrell.
Deux tueurs à gage se rendent à Bruges, Belgique, pour se faire oublier un
temps. Une amitié se noue entre les deux jusqu’à ce que leur boss demande à l’un
d’éliminer l’autre. Brendan Gleeson est génial. Les dialogues sont excellents.
Ghost in the Shell – 1995 - de Mamoru Oshii. Film d’animation.
D’après le manga de Masamune Shirow. Dans un future cyberpunk se
cotoyent humains et êtres cybernétiques. Des forces de l’ordre se concurrencent pour
capturer un pirate informatique. Du manga pur et dur, absolument fantastique. Une
question traitée est celle de la séparation de l’esprit et du corps. Esprits
humains, corps cybernétiques, renaissances…
Akira – 1988 - de Katsuhiro Otomo. Film d’animation. D’après
le manga du même auteur. Dans un Tokyo
futuriste, quelque peu apocalyptique, des jeunes drogués désoeuvrés trainent en
moto. L’un d’eux est capturé par l’armée pour subir des expériences
parapsychologiques. Doté de nouveaux pouvoirs, le jeune Tetsuo engendre Akira. Des conflits d’intérêts et
des embrouilles de pouvoir s’ajoutent les uns aux autres pour faire de ce manga
un film exceptionnel. Essentiel.
True
Romance – 1993 – de Tony Scott (scénario de Quentin Tarentino) avec Christian Slater, Val Kilmer, Gary
Oldman, Patricia Arquette, Brad Pitt, Christopher Walken, Dennis Hopper,
Bronson Pinchot. Thriller
romantique. Un scénario magistral. Une brochette d’acteurs impécables.
Film culte.
Les
locataires
– 2004 – de Kim Ki-Duk. Film poétique merveilleux. Un jeune homme libre
et sans biens propres prend possession pour quelques heures de maisons
vacantes. Il rencontre un jour une jeune femme malheureuse. Elle le suit dans
son mode de vie jusqu’à ce qu’ils se fassent arrêtés. En prison, le jeune homme
travaille un art martial très étrange visant à le « fondre » dans le
décor, à le rendre invisible. Il part vivre chez la jeune femme malheureuse
auprès de son mari, sans que celui-ci ne puisse le voir. Histoire d’amour mais
surtout de liberté.
Pulp
Fiction – 1994 – de Quentin Tarentino avec Bruce Willis, Samuel
L. Jackson, John Travolta et Uma Thurman.
Un Tarentino incontournable. Scénario toujours aussi magistral.
Le terminal
– 2004 - de Steven
Spielberg avec Tom Hanks et Zoé Saldana. D’après une histoire vraie. Un homme
se retrouve bloqué en zone internationale d’un aéroport car pendant son voyage,
son pays a connu un coup d’Etat et a perdu la reconnaissance internationale. Il
va devoir s’adapter à une nouvelle vie sans issue. Excellent.
No country for old men – 2007- de Joel et Ethan Coen avec
Javier Bardem et Tommy Lee Jones. Un homme trouve une mallette pleine d’argent
et se retrouve poursuivi par un tueur engagé pour la récupérer. Javier Bardem
est genial en psycopathe (comme on le voit dans le dernier James Bond), effrayant
à souhait.
Starwars –
1977 – 2005 - de George Lucas avec
Harrisson Ford, Mark Hamil. Les
6 épisodes. Merci George Lucas.
In the mood for love – 2000- de Wong Kar-Wai avec Maggie
Cheung et Tony Leung Chiu-Wai. Histoire d’amour, d’adultère, de romance,
d’amitié, de fatalité. Musique superbe. Film parfait.
L’odeur de
la papaye verte – 1993- de Tran Anh Huong. Histoire d’une jeune femme
vietnamienne. Ce film est une merveille de poésie et de douceur. C’est simplement
un film asiatique. Magnifique.
L’été de
kikujiro
– 1999- de et avec Takeshi Kitano.
Même si Takeshi peut taper sur les nerfs, ce film est une très jolie histoire
entre un enfant et un adulte irresponsable qui vont tous deux apprendre l’un de
l’autre. Très touchant.
Old Boy – 2003 – de Park Chan-Wook. Un homme est
enlevé et séquestré sans raison apparente. Il ne sait pas pour combien de
temps. Il est étrangement relâché au bout de 15 ans et il va alors cherché à se
venger et à découvrir les raisons de son tortionnaire. Une histoire d’inceste,
de vengence, de manipulations, de suicide, un drame extrêmement captivant. Ce
film fait partie d’un triptyque sur le thème de la vengeance (Sympathy for Mister
Vengeance ; Lady Vengeance). L’acteur principal mange un poulpe vivant –
en fait quatre pour la scène- alors qu’il est végétarien, voilà une
performance.
Les sept
samouraïs - 1954 - de Akira Kurosawa avec Toshiro Mifune. Film de
samouraïs (Chanbara). Dans un japon médiéval, des bandits attaquent les
villages pour piller leurs récoltes. Un village décide de faire appel à des samouraïs pour prévenir la prochaine attaque. Des paysans partent alors
recruter des samouraïs dans les villages voisins. Débordant d’humour, d’intelligence,
de cœur, Mifune est hilarant, extra-ordinaire. Ce film de près de 4 heures est
trop court. Un très grand moment de cinéma, une plongée au cœur d’un pays
magique.
Mind game -2004
- de Masaaki Yuasa. Film d’animation japonais adapté d’un manga de Robin Nishi.
Encore une histoire qui part dans tous les sens, qui surprend le public à
chaque instant, qui bouscule les interprétations. Un jeune homme trouve la mort
de manière absurde. Dans un ailleurs, l’autre monde, il parvient à faire
demi-tour et revenir sur terre. Commence alors une folle aventure amenant notre
jeune homme dans le ventre d’une baleine où il construit une cabane en
colocation avec un vieux sage-fou. Génial.
L’empire
des sens – 1976 – de Nagisa Oshima. Film japonais. Une femme
et un homme vivent une passion charnelle poussée à l’extrême. Inspiré d’un fait
réel. Ce film est bouleversant par la sensualité dérangeante qu’il dégage et il
pose des questions essentielles sur la passion amoureuse, le libertinage, l’abandon
de soi.
Docteur Folamour – 1964 - de Stanley Kubrick avec Peter Sellers. Film satririque sur la guerre froide, dénonçant l'incompétence des politiques et l'absurdité des conflits. Magistral.
Docteur Folamour – 1964 - de Stanley Kubrick avec Peter Sellers. Film satririque sur la guerre froide, dénonçant l'incompétence des politiques et l'absurdité des conflits. Magistral.
…
Ca en fait 68. Et si on essayait d'aller jusque 100? Je vais me creuser la mémoire pour en trouver 32 mais un peu d'aide serait la bienvenue!
Hop! A vos écrans.
Ca en fait 68. Et si on essayait d'aller jusque 100? Je vais me creuser la mémoire pour en trouver 32 mais un peu d'aide serait la bienvenue!
Hop! A vos écrans.
Abre los ojos - 1998 - de Alejandro Amenabar avec Penelope Cruz et Eduardo Noriega. Un jeune homme vit une histoire d’amour compliquée. Suite à un terrible accident de voiture il se trouve défiguré et sa petite amie le rejette. Commence alors un enchaînement d’hallucinations. La réalité devient confuse. On apprend que le jeune homme a signé après son accident un contrat avec une société de réalité virtuelle. Le jeune homme est quelque part entre le rêve, le fantasme, la réalité et le cauchemar. Une adaptation US porte le nom de Vanilla Sky de Cameron Crowe avec Tom Cruise.
RépondreSupprimerUsual Suspects de Bryan Singer avec Kevin Spacey;
SupprimerLe bon, la brute et le truand de Sergio Leone avec Clint Eastwood;
La liste de Schindler de Steven Spielberg avec Liam Neeson et Ralph Fiennes;
Slumdog Millionnaire de Dany Boyle;
Etre et avoir de Nicolas Philibert (sur les rapports prof/enfants à l'école)
Les beignets de tomates vertes de Jon Avnet;
L'amant de Jean-Jacques annaud avec Jane March (d'après le roman de Marguerite Duras);
Fanfan la Tulipe - 1952 - de Christian-Jaque avec Gérard Philippe et Gina Lollobrigida;
RépondreSupprimerSalomon et la Reine de Saba - 1959 - de King Vidor avec Yul Brynner et Gina Lollobrigida
Un dernier tango à Paris - 1972 - de Bernardo Bertolucci avec Marlon Brando et Maria Scneider. La fameuse scène dont Marlon est sorti "indemne" mais qui a eu raison de la carrière de Maria...
RépondreSupprimerTu peux ajouter "Les Patriotes", de Eric Rochant.
RépondreSupprimer-> Ariel, un jeune Juif français, décide de quitter sa famille pour partir en Israël et devenir un agent du Mossad ( inspiré de 2 histoires vraies ). On abserve toute la rigueur, la distance, qu'il y a dans le monde de l'espionnage.
"Voyage au bout de l'enfer"
"les fils de l'homme" une référence pour moi
"les tontons flingueurs"
"les valseuses"
"12 hommes en colère"
...
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