C'est une des premières notes d'intention. Il y en a eu plusieurs et le projet a beaucoup évolué. Il est bien sûr, encore loin d'être abouti. Une très grande partie des articles de ce blog sont des articles de réflexion qui ont servi de base à l'imagination et à la création de la réalité Usophiste.
21 janvier 2013
"Bonjour, je m’appelle Marie et j’ai 30 ans ( c’est important de commencer par le commencement) . Je suis en train d’écrire une histoire d’inspiration philosophique et fantaisiste. Je cherche à rassembler les plus grandes questions que l’Homme se pose depuis des générations et les énigmes scientifiques contre lesquelles butent nos théories.
Il en est ainsi de l’origine de la vie, de l’univers, du
temps, de la dualité supposée entre corps et pensée, de la place de la
rationalité dans notre système de perception, de la nature de la pensée (ou
conscience, ou esprit), de la nature de notre évolution, de l’existence ou non
de phénomènes paranormaux, parapsychiques.
Je cherche à questionner notre paradigme de vie dans lequel
baigne toute notre vision du monde, je cherche à déconstruire et relativiser
certaines idiosyncrasies qui selon moi donnent une explication à notre capacité
de destruction de ce qui nous entoure et de nous-mêmes. Je pars en effet du
postulat que notre manière de faire et de voir, depuis plusieurs centaines
d’années mais sur les 200 dernières en particulier, est auto-destructrice malgré les nombreuses
avancées que le monde occidental a faites qui alimentent notre confiance en
notre prétendue supériorité.
Je considère que nous avons sacrifié de nombreuses choses
sur l’autel du progrès technologique.
Motivés par une peur atavique de l’inconnu, c’est une soif
de domination de cet inconnu pour notre survie qui nous a éloigné d’un
sentiment de confiance et qui a masqué à nos yeux l’harmonie des choses qui
nous entourent. Nous avons ainsi rompu l’harmonie en détruisant à la fois des
écosystèmes et mis en péril notre santé.
Les principaux axes auxquels je m’attaque sont la rationalité
toute puissante, la peur ancestrale due à notre condition perçue comme fragile,
les leviers de l’évolution (à quoi la vie a du s’adapter pour persévérer), je
questionne également la notion de temps, la notion de vie que je cherche à
élargir au-delà de la définition biologique que nous en avons, la notion de
mort qui en découle. J’extrapole ces réflexions pour proposer ensuite une
fantaisie qui ouvre les possibles et aspire à réconcilier l’homme avec sa
condition et son environnement.
Je développe l’idée que nous ne percevons de ce qui nous
entoure que ce qu’il est nécessaire de percevoir pour interagir avec cet
environnement afin d’y évoluer et de s’y épanouir. Je poursuis en déduisant que
nous avons pris notre vision du monde pour une réalité objective que nous avons
cherchée à modifier à notre convenance, en laissant de côté la dimension
relative de nos perceptions. C’est à ce moment que la rationalité s’est imposée
comme fer de lance de notre entendement. Tout ce qui était hors de sa portée
(hors d’une explication mathématique par exemple) a été rejeté dans le domaine
du paganisme, de la superstition, ou ostracisé comme frivolité spirituelle.
Dans un combat qui se menait en notre for intérieur et qui
opposait d’un côté la terreur suscitée par la violence de certains éléments ou
de certaines espèces animales et d’un autre côté l’admiration ressentie face à
la beauté de l’ordre des choses, c’est la première qui a pris le pas.
L’instinct de survie s’est atrophié sous l’emprise de la peur alors qu’il
s’exprimerait plus pacifiquement si nous faisions confiance.
Ce sont les 2 derniers siècles qui témoignent d’une
déviation dangereuse pour notre survie. Des notions telles que le progrès
technologique, la supériorité culturelle, le racisme et les religions sont
manifestes d’un détachement aux questions originelles, d’une méprise quant à
notre place dans l’univers.
Je rassemble certaines des grandes énigmes scientifiques qui
ouvrent la voie aux théories métaphysiques. Ainsi, la question du big bang, du
mur de Planck ouvre la réflexion sur les notions de temps (temps imaginaire,
temps réel), d’information ou d’énergie.
Aussi : durant la « première seconde après le Big
Bang », le « combat » entre matière et anti-matière,
l’apparition de la masse (et le champs de Higgs), des quatre forces qui
seraient les volets d’une Force unifiée encore inconnue, l’énergie noire, la
matière noire et les 80% d’inconnu qui constitue l’univers, l’indétermination quantique, les ondes de
particules discrètes ou les flux continus (comme la lumière)…
Après de nombreuses recherches pour délimiter ces questions
et approfondir leur contenu, j’ai déterminé le cadre de ma fantaisie
philosophique – dit projet Usophia.
En premier lieu, il s agit de définir les circonstances qui
vont amener le personnage principal contemporain (Pat) à découvrir et à accéder
à d’autres dimension par un travail psycho-spirituel (Transpasseurs et
Immaliants)
Dans un deuxième temps, il s’agit de définir de manière
vraisemblable une société « idéale », idéale par son organisation
sociopolitique et idéale dans ses mœurs et valeurs, respectant en particulier
une harmonie avec le monde qui les entoure et qui est désormais bien moins
mystérieux aux yeux des Usophiens.
Dans un troisième temps, il s’agit de déterminer le moment
de « rupture », les circonstances qui ont fait passer l’humanité de
leur mode de fonctionnement au mode usophilien.
On estime que 600 ans sépare les deux époques, que la
majorité de l’humanité a succombé aux foudres. De même le visage de la planète
a considérablement changé suite au process de « lavement » que subit
la planète pendant ces quelques 600 ans. Une grande partie des terres fermes et
côtières sont englouties, des tempêtes s’acharnent incessamment au cœur de
certains territoires (anciennement etats-unis) et seuls quelques endroits
préservés par l’homme le reste (terres centrales de Russie et d’europe
orientale, Chine intérieure, afrique du sud, Amazonie ?, Pôles ?)
Voici l’idée de ce moment de rupture :
Une fois Pat, Celso, d’autres transpasseurs et êtres
extra-dimensionnels, organisés et prêts a déjouer le système de sécurité de la
dimentique, l’humanité se voit imposer un ultimatum : la seule manière
d’échapper à l’ « eradication »
est de cesser toute activité « artificielle » pendant une
bonne année, délais au bout duquel devrait être engagé le process de lavement
de toutes traces de pollution et activité contre-nature et disharmonique. Aussi
cette année de délai est-elle sujette à d’importantes catastrophes naturelles,
comme un échauffement. Biensûr, cet ultimatum, afin d’être pris au sérieux, est
annoncé aux hommes de la planète de manière « sur-naturelle », sous
forme d’apparitions de flux spirituels, autrement dit sous forme d’Immaliance (
rassemblement d’enta dans le but de permettre une communication entre plusieurs
dimensions (notamment le passage de la dimension transcendante (par laquelle
notre inconscient accède à l’Atavicus et devient conscient) à la dimension
Immanente ( la dimentique, ou réside l’enta, hors du temps, où tout est force
de vie et « persévérance dans l’être »)
Dans ce cas extrême, l’enta se mobilise pour alerter
l’humanité. Bien évidemment, ces « révélations » brusques faites à
une population « non-avertie » produit l’effet contraire. Chaos et
panique générale cohabite avec incompréhension et tentative de raisonnement. De
nombreuses démarches et réactions mais aucune visant à suivre l’unique
mesure qui a été
« divinement » suggérée. En tout cas pas dans le délai imparti. Seuls
quelques territoires vont ainsi préférer agir au lieu de commenter et
argumenter. Au fil des mois, l’humanité va s’auto-détruire en très grande
partie, jusqu’au moment où d’autres entités, organisations, communautés, vont
déclencher une attaque nucléaire, croyant à des complots de pays voisins,
d’entités concurrentielles. C’est à ce moment là qu’une dernière manifestation
de l’immanence intervient pour empêcher la destruction totale de la planète et
plonger ce qui reste de l’humanité dans une bulle d’exotemporalité.
Au bout de l’année de délai interrompue par la bêtise
humaine, la dimentique lance son programme de « sécurité »,
« décontamination » : des flux d’antimatière s’abattent sur
certaines zones provoquant leur annihilation. Les océans, les pluies se
déchainent au-delà du concevable, avec une force qu’aucune invention humaine n’aurait pu
approcher.
Quid de cette bulle d’exotemporalité: il s’agit de dissocier
les perceptions du temps. Le corps physique percevra une durée de 12 heures –figé – tandis que
l’esprit sentira s’écouler, au compte goutte, minute après minute, 300 années.
CE sont biensûr 300 années qui vont s’écouler sur la terre, pendant lesquelles des
phénomènes climatiques et « surnaturels » (participation d’autres espèces et
manifestation d’autres dimensions) vont « réparer » inlassablement
tous les impacts de l’humanité pour restaurer l’harmonie des écosystèmes et des
dimensions. Depuis leur bulle d’exotemporalité, comme immobiles derrière une
fenêtre et coupés de toute sensation physique ou besoin corporel, les
survivants, quelque ait été leur comportement, assistent, regardent, ressassent
en totale impuissance. Sans aucun moyen de communiquer entre eux, sans même
pouvoir regarder autre chose que leur planète en train de se débarrasser d’eux.
Puis les perturbations climatiques se calment peu à peu. Le visage de la terre
est considérablement modifié. Tout n’est presque plus qu’océan et déserts, seuls
quelques espaces verts persistent, l’équivalent de l’Amérique du sud, la moitié
de l’Afrique, l’Asie centrale, les pôles ont fondus et peut-être ont-ils
modifié leur magnétisme.
Les hommes sont
dégagés de l’Exotempus et retrouvent une place sur leur planète. Ces 300 années
ont favorisé une évolution considérable, une prise de conscience, une sagesse
et une connaissance qui vont être à l’origine de la création d’Usophia.
Il s’agira de préciser en quoi consiste cette évolution
considérable. En gros, la contemplation de 3 siècles de réparation de la
planète permet de prendre conscience de l’inconscience et de l’ignorance qui
ont gouverné nos décisions, nos choix de vie, mais aussi de l’illégitimité de
nos peurs.
Digression : avoir peur et ne pas savoir n’a
rien d’illégitime, ce qui pose un sérieux problème c’est lorsque l’on prend
conscience que l’on est dans l’erreur et que l’on persiste dans l’erreur. Cela
fait presque 40 ans et surement davantage que circule cette impression
d’« un monde qui marche sur la tête », cette impression que notre
mode de vie n’est pas viable à long terme, que nous avons pris conscience des
« effets secondaires » de notre mode de vie –occidental puis mondialisé.
Seulement, malgré des intentions de changement, les fenêtres d’opportunités
sont quasi inexistantes parce qu’une oligarchie intéressée détenant les moyens
d’action (finance, politique, média) veille au verrouillage du système.
Cette dernière remarque illustre mon intention ferme de ne
pas juger notre évolution comme étant moralement ou humainement bonne ou
mauvaise, mais plutôt à la comprendre, la critiquer dans le seul but d’avancer
et de proposer. (« Émettre des propos … ?»)
On peut aisément imaginer les nombreux aspects de la prise
de conscience des nouveaux habitants de la terre. On leur offre une planète
harmonieuse, encore pansée de maintes façons, restaurée et ces hommes portent
désormais sur leurs épaules le poids d’une certaine culpabilité. (il ne s’agit
toujours pas de JUGER le bien ou le mal, l’important est la prise de conscience
qu’un comportement a des conséquences, que nous ne maîtrisons pas tout, que
nous ne sommes pas seuls)
Ce qui leur donne l’intention de mieux faire les choses. De
toutes façons ils ont découvert l’existence des autres dimensions, de la
Dimentique, de l’Atavicus (pensée collective atavique), la relativité du temps
bien au-delà de ce qu’Einstein a pu en dire, la place de la matière (dimension
matérielle) dans l’ensemble des dimensions qui animent l’univers, et ils ont eu
le temps d’intégrer l’information.
La société qu’ils vont établir sera en harmonie avec
l’ensemble de ces choses.
Le visage d’Usophia :
Usophia est planétaire et regroupe l’ensemble des hommes
(estimé à 400 000).
Durant 300 autres années – qui nous amènent au moment de mon
histoire- les hommes vont construire Usophia:
-
Des technologies nouvelles tirées de la Force
Unifiée (métaquanticomagnétique)
-
Des habitats troglodytes fondus dans les
écosystèmes
-
Un apprentissage encadré et libre à la fois
-
Du sport quotidien pour produire de l’énergie
-
L’absence de monnaie
-
L’abondance (la quantité nécessaire) pour tous
-
Le travail participatif pour tous
-
Une appréciation de la vie au quotidien
bouleversée par les technologies téléempathiques
Ex : possibilité de voyager par la pensée en dissociant
son corps médiateur ; partage télépathique des informations, des
émotions ; contact avec la dimentique et l’energie vitale des espèces
vivantes non animales ou non animées
-
Nouveaux métiers liés aux nouvelles technologies
-
Tout adulte le souhaitant participe à
l’apprentissage de la nouvelle génération
-
Apprentissage participatif et surtout
interactif : le maître s’adapte à son apprenti
-
La langue parlée ?
-
La mode : comme toute autre activité, les
usophiens qui souhaitent travailler le textile le font –toujours dans le
respect des ecosystèmes- et donnent la production qu’ils veulent.
-
Le maintien de l’ordre ? Coercition ?
-
Faire équipe avec son coprs
La réflexion reste ouverte quant aux évènements pré-usophia :
les interactions entre les dimensions, la bulle d’exotemporalité de 300 ans et
la manière dont la terre est frappée ne me satisfont pas. Il faut trouver autre
chose que les flux d’anti-matière et les images de déluge.
D’autres idées
précédentes sont à reconsidérer (lumière, incertitude de la matière,
spectre de sensibilité….)"
Préparation Usophia, 25 mars 2013:
"Usophia
Rassemblement des principaux concepts :
Un personnage issu d’un groupe particulier (a trouver)
Le personnage ou le groupe est le protagoniste initial.
Ils mènent une certaine quête et quelque chose va venir les
chercher : rencontre de deux choses autour d’un même objectif ( a
déterminer avec plus de précision)
Non, pas de rencontre. Il vaut mieux que le groupe ou la
personne fasse un travail de découverte, qui progressivement lui ouvre la porte
sur quelque chose. L’effort de chercher serait récompensé par la découverte de
la dimentique et ce qui va autour.
Dans le processus de découverte de l’existence de cette
dimentique, rencontre avec les transpasseurs et les immaliens. Il y a aussi
l’usage de l’épytocarcine, le recours aux mots (les particules utérules)
La formule mathématique et les nombres premiers :
l’étude de l’organisation des autres nombres à partir des briques premières
permet de lever le mystère sur ces dernières. La symétrie aussi, ce qu’elle
engendre comme vision du monde, puis les concepts de temps de fini et d’infini.
Exploiter les connaissances scientifiques et leurs
applications technologiques non pas selon un paradigme de contrôle, de domination
mais selon un paradigme d’harmonie. Sur cette nouvelle idée repose la nouvelle
cité d’usophia.
En 3972 (clin d’œil à la planète des singes) peut être aussi
avec un personnage clin d’œil à Asimov : exemple : hober seldon (hari
Seldon, Hober Malow, Preem Palver… Fondation)
Patricia se voit confier une note sur laquelle se trouve
écrite une formule mathématique. Elle n’y comprend rien mais elle est sensée
regarder cette formule, plusieurs fois par jour pendant plusieurs jours. Peu à
peu, un chemin se fraye dans son esprit. La formule ouvre une voie vers une
autre forme de connaissance. Son esprit peut cerner la formule mais au-delà de
sa conscience. Tout au fond de son esprit, des echos résonnent. Patricia entre
en contact avec une partie de la mémoire atavique du vivant. A partir de là,
elle va pouvoir accéder à des connaissances infuses, intuitives. Développer des
capacités parapsychologiques (téléempathiques).
Celso : à la base, celso est une manifestation libre de
la dimentique. Je pense que c’est plus compliqué que cela. Celso est un
immalien. Il y a d’autres immaliens. Les immaliens sont des manifestations de
la dimentique. Leur but est de permettre des intéractions, de construire des
ponts, des liens, entre diverses façons de voir. Les immaliens sont rarement en
contact avec les humains. Ces derniers se sont éloignés de leur spiritualité,
ils se sont détachés de la connaissance désintéressée et harmonieuse.
Les immaliens sont une incarnation d’une forme de
connaissance immanente.
Les transpasseurs sont quant-à eux plus proches des humains.
Ils permettent un accès à une forme instrospective de connaissance, une fois la
démarche accomplie de prendre le temps de se poser quelques questions
désintéressées sur l’ « autre ». les transpasseurs ouvrent l’accés
vers la transcendance qui précède l’immanence. Ce sont des êtres spirituels
mais ils n’ont rien çà voir avec les sages religieux où autres. Ils ne
délivrent aucun message. Ils amènent discrètement les gens qu’ils rencontrent,
lorsque ceux-ci manifestent une certaine sensibilité, à s’ouvrir
intérieurement.
C’est un transpasseur qui donne le mot mathématique à
particia.
L’histoire commence en 2017. Les tensions existantes se sont
amplifiées : des gens meurent de faim et de froid, les riches le sont de
plus en plus mais ils sont aussi de moins en moins nombreux. Cela crée une
violence sociale. La population se mobilise un peu partout mais nous avons
attendu trop longtemps et on ne sait plus par ou commencer. Les choses sont
allées tellement vite ces dernières décennies qu’on a pas pris le temps de
penser, d’anticiper, de se prémunir. Les outils intellectuels font cruellement
défaut à tous les groupes qui se mobilisent pour réclamer un nouveau monde,
bâti sur un modèle autre que celui de l’individualisme ou de la richesse
matérielle. Des petites communautés ont émergées, se réclamant d’une mouvance
écologique, s’organisant en circuit de production et consommation court. Mais
ces gens vivent petitement. Ils ne sont pas nombreux. La majorité des gens vit
aussi petitement mais dans la résignation, la fatalité, le désespoir.
Patricia fait partie d’une petite communauté qui se bat pour
survivre avec l’espoir que prochainement les choses changeront pour le mieux.
C’est parce qu’elle a cet espoir, qu’elle croit en la vie, la beauté de la
planète, sa force mais aussi en l’humain, qu’elle va pouvoir agir, avec l’aide
des transpasseurs, de l’immalien, puis de tout ce qu’elle va rencontrer dans
son voyage vers une nouvelle spiritualité.
Le voyage de patricia :
Elle va découvrir la réalité qui se cache derrière les
perceptions de l’homme. Elle trouvera les réponses à toutes les questions
métaphysiques qui ont tourmenté les hommes depuis toujours. Sur le temps, le
vivant, la mort, l’energie, le sens, l’existence de dieu…
La plupart de ces réponses est liée au concept de
dimentique.
La dimentique est une dimension de nature exogène, en gros,
inconnue, ou inconcevable pour nous. Une forme de matière invisible animée,
c’est un ordre, qui maintient une harmonie fragile et indispensable entre
toutes les choses de l’univers.
C’est l’essence de la vie, c’est la matière invisible à la
fois présente et absente (dont l’énergie noire qui nous est inconnue est une
manifestation).c’est la spiritualité avant et après la vie. C’est l’unité du
tout. Ce n’est pas parce que les choses sont visuellement détachées les unes
des autres qu’elles le sont dans leur essence. Le problème des hommes est
qu’ils ne font pas confiance. Ils nient l’existence de l’invisible plutôt que
d’accepter qu’il puisse simplement échapper au contrôle de la pensée humaine.
La peur est le plus grand des handicaps.
Comment rétablir la confiance des hommes en l’univers ?
en la vie ? et surtout en l’invisible ?
Réconcilier l’homme avec l’abstrait, avec l’effort, avec
lui-même, en ce qu’il a de profond en lui et qu’il ignore."
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